lunes, 17 de febrero de 2014

Assassinat à L’école de Langues



                                               Assassinat à L’école de Langues

Petite nouvelle policière réalisée par les élèves de 5ème et 6ème années de l’école de Langues de Huesca en 2013, avec l’aide du professeur Mr Candie Gilles:

Belén Ancho, Marta Bornaechea, Ana Fuertes, Pilar Garanto, Ana Lacambra, Rafael Mosteo, Zhara Noghani, Elena Ubieto



Note apparue dans le journal le lendemain des faits :
« Hier, lundi matin, la concierge de l’école des Langues de Huesca, a trouvé le corps sans vie du professeur d’italien. Celui-ci était allongé sur le sol de la bibliothèque. Il  avait plusieurs coups de poignards dans la poitrine. Ce professeur venait tout juste de s’incorporer à son poste de travail il y a 3 mois, car il était en congé maladie pour dépression. D’après ce que nous avons pu savoir, il ne s’entendait pas bien du tout avec les autres professeurs, surtout avec son collègue, l’autre enseignant d’italien.
Nous vous tiendrons bien sûr au courant etc…. »

L’inspectrice chargée de cette enquête s’appelait Sarah et elle venait d’arriver sur les lieux du crime. Habillée avec l’uniforme de police, tout en noir, et avec de grandes bottes. De longs et blonds tire-bouchons sortent de sous la casquette. Elle a un beau visage rond, très impressionnant à cause de ses yeux bleus-clairs, presque transparents, et de son apparence très « nordique ».
L’air sérieux, elle parle avec fermeté, lentement en vocalisant bien. Elle connait son boulot parfaitement car elle a travaillé pendant dix ans au département comme spécialiste dans la recherche de criminels.
A 8h du matin, Sarah arrive sur les lieux du crime après avoir reçu le coup de fil de la concierge de l’école de Langues. Elle va directement à la bibliothèque pour observer les éventuelles pistes. Le corps qui gisait sur le dos, avec quinze coups de poignard, avait la bouche ouverte et laissait voir la langue à demi arrachée ou coupée. La flaque de sang inondait un livre fermé à côté du corps où se trouvait aussi un mégot de cigarette.
Alors, elle décide de commencer l’interrogatoire avec la concierge Margarita, qui a trouvé le corps.

À première vue, Margarita, droite comme un « i », est une femme maigre et petite, ses cheveux frisés grisonnent et sont déjà désordonnés, elle a de grands yeux noirs, inquiétants. De plus elle a vraiment mauvaise mine ! Elle semble très timide et bien incapable de prendre une décision, cependant, elle est très rigoureuse dans son travail, elle est toujours la première à arriver et la dernière à partir. Elle a plus ou moins la soixantaine et fume beaucoup.

L’interrogatoire :
Sarah : « vous êtes bien la personne qui a trouvé la victime ? »
La concierge : « Oui, ce matin comme tous les matins, j’étais en train d’ouvrir les salles et en entrant dans la bibliothèque j’ai trouvé le corps du professeur allongé face à terre. Quelle horreur ! Quelle catastrophe ! »

viernes, 14 de febrero de 2014

Du


Du,
Augen, in denen sich die Unendlichkeit spiegelt,
wunderschön und rätselhaft.

Du,
ein Mund, wissend und doch geheimnisvoll lächelnd,
Sehnsüchte weckend.

Du,
eine Stimme, vertraut und voll Wärme,
die Seele berührend.

Du,
ein Gesicht, schön wie ein Sonnenaufgang am Meer,
strahlend und sanft.

Du,
anmutige Bewegung, bezaubernder Duft,
die Sinne betörend.

Du,
zwei Buchstaben nur, Symbol für eine ganze Welt,
wie das Alpha und das Omega.

Du,
nah und vertraut, unendlich fern,
Sterne berührend.

Für immer in meinem Herzen.



Raina Jeschke, 2006

Jacques Brel, La chanson des vieux amants

L’une des plus belles chansons d’amour de tous les temps



Bien sûr, nous eûmes des orages
Vingt ans d'amour, c'est l'amour fol
Mille fois tu pris ton bagage
Mille fois je pris mon envol
Et chaque meuble se souvient
Dans cette chambre sans berceau
Des éclats des vieilles tempêtes
Plus rien ne ressemblait à rien
Tu avais perdu le goût de l'eau
Et moi celui de la conquête

Mais mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime

Moi, je sais tous tes sortilèges
Tu sais tous mes envoûtements
Tu m'as gardé de pièges en pièges
Je t'ai perdue de temps en temps
Bien sûr tu pris quelques amants
Il fallait bien passer le temps
Il faut bien que le corps exulte
Finalement finalement
Il nous fallut bien du talent
Pour être vieux sans être adultes

Oh, mon amour
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore, tu sais, je t'aime

Et plus le temps nous fait cortège
Et plus le temps nous fait tourment
Mais n'est-ce pas le pire piège
Que vivre en paix pour des amants
Bien sûr tu pleures un peu moins tôt
Je me déchire un peu plus tard
Nous protégeons moins nos mystères
On laisse moins faire le hasard
On se méfie du fil de l'eau
Mais c'est toujours la tendre guerre

Oh, mon amour...
Mon doux mon tendre mon merveilleux amour
De l'aube claire jusqu'à la fin du jour
Je t'aime encore tu sais je t'aime.


A kiss on the forehead

A kiss on the forehead—erases misery.
I kiss your forehead.

A kiss on the eyes—lifts sleeplessness.
I kiss your eyes.

A kiss on the lips—is a drink of water.
I kiss your lips.

A kiss on the forehead—erases memory.



Marina Tsvetaeva 
1892–1941

domingo, 9 de febrero de 2014



Die 64. Berlinale

Es ist wieder soweit, man kann in Berlin rund um die Uhr Filme gucken. 


Berlinale 2014 Plakate Potsdamer Platz

Wenn Sie sich informieren möchten, klicken Sie einfach:
BERLINALE 2014

martes, 4 de febrero de 2014

A horror story

The Inmans had a parrot. Grump (that was his name) was horrible, angry, scheming and nasty. But he was their parrot so they couldn't shoot him. Instead he lived in their house, soiled their mail, stole their fried chicken and every so often bit. Then, finally, he died.

Sort of.